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Une délégation de l’Université Libanaise s’est rendue vendredi 1er juillet au GIP ARRONAX pour visiter les installations et rencontrer des compatriotes scientifiques qui y travaillent.

Bassam Badran, recteur de l’Université Libanaise, Elie Hadchity, directeur du centre Médical Universitaire et Elie Hajj Moussa, directeur de la faculté des Sciences ont passé une semaine à Nantes du 26 juin au 2 juillet 2022.

Pour cette délégation, il s’agissait de conforter les liens entre l’Université Libanaise et Nantes Université, au-delà de la collaboration initiée au cours de l’année universitaire 2021-2022 dans le cadre d’un programme Erasmus+ en Biologie Santé et qui s’est traduite par l’accueil à Nantes de plusieurs étudiantes libanaises venues suivre le master 2 BBRT.  Ils ont successivement rencontré la Présidente de Nantes Université, la Doyenne de l’UFR Sciences et Techniques, ainsi que les équipes des laboratoires comme le CRCI2NA et l’institut du thorax dans lesquelles les étudiantes libanaises ont fait leur stage. « Nous sommes fiers de recevoir des étudiant.e.s de l’Université Libanaise dans nos formations, ainsi que dans nos futurs graduates programs », a affirmé Yannick Guilloux, responsable de la Mention Biologie Santé et du master BBRT à Nantes Université.

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De gauche à droite : Charbel Koumeir, Ferid Haddad, Gaëlle Saade, Elie Hadchity, Bassam Badran et Elie Hajj Moussa.

Avec les services de Nantes Université, la délégation a évoqué les activités Erasmus+. Elle a également été accueillie au GIP ARRONAX, où elle a visité les installations du cyclotron en compagnie de son directeur, Ferid Haddad, et s’est entretenue avec Charbel Koumeir, physicien, et Gaëlle Saade, doctorante de 1ère année en cancérologie. Tous deux sont Libanais et ont choisi le site nantais pour poursuivre leur carrière scientifique au profit du développement des rayonnements ionisants pour la santé. Leur exemple pourrait en inspirer d’autres. « Nous ouvrirons peut-être la voie pour d’autres disciplines, avance Yannick Guilloux. En effet, pourquoi ne pas développer des programmes Erasmus+ en chimie ou en physique, deux disciplines indispensables à la recherche en médecine nucléaire? »

Contact : Yannick Guilloux